Aujourd’hui, découvrez le parcours du docteur Amar, chirurgien-dentiste et implantologue en libéral et au sein de Docali. Liberté de travail, respect de l’éthique et bonne ambiance : nous vous révélons tous les avantages à rejoindre nos structures associatives !
Bonjour, nous sommes très heureux d’en apprendre plus sur vous !
Pouvez-vous vous présenter ?
Je m’appelle Amar. Je suis chirurgien-dentiste, à la fois en libéral et au sein d’une structure Docali. J’ai commencé à travailler en centre dentaire, comme complément d’activité, en 2015. Je suis passé par 3 centres avant de découvrir Docali, en 2016. Ça fait maintenant près de 7 ans !
Quel est votre parcours professionnel ?
Ma formation a été réalisée à la fois aux États-Unis et en France. J’ai obtenu 2 diplômes universitaires en tout. À mon retour, j’ai effectué quelques formations post-universitaire, pour me spécialiser, principalement en implantologie. J’ai ouvert mon cabinet en 1988 à Paris, je ne suis pas tout jeune (rire). En 2016, j’ai dû quitter Paris, parce qu’il est très difficile d’y trouver des locaux qui respectent les lois d’accessibilité aux personnes en situation de handicap. J’ai donc décidé de m’installer en région parisienne, et de repartir de zéro. Et au final, malgré la distance, 80% de mes anciens patients continuent de venir dans mon cabinet.
Comment décririez-vous votre relation avec vos patients, pour expliquer le fait
qu’ils continuent de venir malgré la distance ?
Une vraie relation de confiance, avec des liens forts.
Et comment avez-vous entendu parler de Docali ?
Préparez-vous, je vais vous raconter ma vie (rire). Quand mes enfants étaient petits, je ne travaillais pas le mercredi. Puis ils ont grandi et ils ont pu s’occuper d’eux-mêmes, et j’ai décidé de reprendre le travail. J’ai commencé à chercher pour pratiquer dans des centres, parce que j’adore mon boulot. J’ai rejoint 2-3 centres différents, où je restais en moyenne 1 à 2 mois. Ça ne me plaisait pas, j’avais l’impression de me fourvoyer, l’ambiance n’était pas la meilleure… Et c’est là que j’ai découvert Docali, grâce à une annonce à laquelle j’ai répondu. J’ai rencontré Catherine Lebail, directrice des opérations, lors de mon entretien. Et ça a été un match direct. J’ai commencé dans la structure de Villejuif, et j’ai adoré l’atmosphère et la liberté de travail qu’on nous laisse. Une petite annonce, c’est très simple en réalité, mais ça a tout changé.
Pourquoi votre expérience au sein de Docali a-t-elle été si bonne ?
La liberté de travail ! On est libre de ses plans de traitements, là je travaille presque comme dans mon cabinet, je n’ai pas de contraintes, de pression au-dessus de ma tête…
Pour vous, quels sont les avantages à évoluer dans une structure comme Docali ?
Chez Docali, on nous facilite assez bien la vie. Il y a une vraie liberté intellectuelle de travail et une intégrité. Il n’y a pas de pression de la part de la direction, on peut exercer l’esprit bien plus tranquille que lorsqu’on est seulement en libéral. Après, j’exerce encore en libéral, parce que ça me convient et que j’aime mon métier comme ça. Mais Docali, c’est un très bon compromis pour certains.
Que diriez-vous à un de vos pairs qui souhaitent rejoindre Docali ?
Je suis à un âge où l’on réfléchit beaucoup à l’après. La retraite c’est sympa, mais dans notre jargon on dit : “médecin un jour, médecin toujours”. On ne peut pas s’arrêter du jour au lendemain, surtout quand on a fait ça toute notre vie. Beaucoup de médecins continuent d’exercer très longtemps, pas seulement par nécessité financière mais aussi parce que ça maintient. Et c’est pour ça que je dis souvent que Docali, c’est parfait pour des chirurgiens-dentistes expérimentés, qui étaient en libéral et qui aujourd’hui veulent continuer d’exercer mais différemment, sans prises de tête, sans charges administratives, avec des emplois du temps flexibles… Les centres Docali sont parfaits également pour des praticiens très jeunes, qui n’ont pas envie d’ouvrir leur cabinet, soit parce qu’ils ne veulent pas le faire seuls, soit parce qu’ils n’ont pas les fonds nécessaires. Ils peuvent évoluer dans un cadre de travail clean, où les équipes sont sympas et soudées. Dans d’autres structures je suis resté 1 mois, 1 mois et demi, 2 mois ; alors que chez Docali, ça fait 7 ans et je n’ai pas l’intention de partir donc c’est qu’on s’y sent bien. Je ne vais pas travailler chez Docali la boule au ventre, je suis content d’y être, c’est une réalité. Il y a une certaine aisance à aller travailler là-bas, on ne sent pas de pression.
Et aujourd’hui, pourquoi choisir Docali ?
Mon premier poste chez Docali était à Villejuif, dans un centre qui était en plein développement. J’ai été le premier implantologue là-bas, et j’ai aidé à faire évoluer cette spécialité dans d’autres centres. Je m’y sens bien, c’est surement parce que j’ai le recul de savoir ce que c’est de travailler en libéral, les contraintes et les aléas que ça peut entraîner d’être son propre patron. Par exemple, si mon assistante est malade ça sera mon problème et c’est moi qui vais devoir assumer son travail contrairement aux centres où les praticiens n’ont pas à gérer ça. D’ailleurs, les DRH de Docali sont très forts dans le domaine du recrutement des assistants/es, à chaque fois ce sont des personnes très qualifiées et agréables. Moi aussi, ça m’est arrivé de faire du recrutement et je reconnais que ce n'est vraiment pas facile.
Un dernier mot pour la route ?
Travailler dans des centres dentaires, ça a toujours eu une connotation négative. Souvent, je vois sur des groupes de discussions ou des forums que pour certains “bosser dans un centre, c’est vu comme une trahison par rapport au métier”, et je ne suis pas d’accord avec ça. Quand je travaille chez Docali, je me sens libre. Cette image négative est difficile à sortir de la tête des gens. Il faut donc mettre en avant la qualité des soins et le fait que vous êtes une entreprise dynamique, sympa et qui est éthique !
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